Collection Homme Femme. Phil &Amp; Iris. Voyage De Noces Aux Caraïbes. (2/3)
As-tu vu Caroline, je la cherche !
Que puis-je répondre !...
Dilemme au moment dêtre presque à notre bungalow, quand je rencontre Gilbert.
Je suis allé chercher une bouteille deau pour Iris pour la nuit.
Nous avons de leau dans les sanitaires de notre chambre, mais la tourista rode et pour éviter de finir notre court séjour à lhôpital, jai accepté de me déplacer.
En revenant du restaurant, jai entendu un bruit entre deux bungalows.
Ce bruit, je devrais dire ces bruits était caractéristique dun couple faisant lamour.
Si mon couple avec Iris est plus que ressent malgré une co-propriété de tous les instants tout le long de nos études.
Je peux dire même de notre jeunesse ayant été élevé ensemble, ces bruits je les ai entendus dans les écouteurs que je me mettais sur les oreilles pour éviter de choquer celle que jai attendue si longtemps.
Nous étions amoureux, nous vivions dans des chambres voisines, mais javais fait à Iris dattendre notre mariage à la fin de nos études
Les gloussements plus que les cris de plaisir de Caroline se faisant sauter par lun des serveurs du restaurant, minterpellent.
Est-ce à moi, connaissant ce couple depuis leur rencontre dans lavion nous ayant amené en Jamaïque, de dire au mari les turpitudes de sa femme.
Aimerais-je que lon vienne me dire que le soir de notre mariage, Iris a trouvé un subterfuge pour me faire croire à sa virginité alors que pendant mon attente, les mâles en rut la prenaient sauvagement ?
Certes, comme dans le temps passé, ou les matrones venaient au matin inspecté les draps pour constater les premiers sangs.
Certaines afin déviter le scandale versaient le contenu de leur menstruation conservé dans de petites fioles pour gruger ces femmes.
Je trouve une parade.
Non, si je la vois, je lui dirais que tu la cherches.
Vous allez vous promener ce soir !
Encore non, Iris est fatiguée et se repose.
Alors bonne nuit.
Sans demander mon reste, je rejoins notre chambre.
Iris est dans un des transats placés devant chaque bungalow.
Elle est en maillot de bain alors que je laurais préféré nu bronzant à la lumière de la pleine lune.
Je lembrasse avec juste ce quil faut comme elle apprécie que je lembrasse.
Les bonnes grosses galoches sont loin dêtre son truc.
Iris, ce sont les caresses, à oui, les massages de pieds, un par un avec abnégation.
Elle aime que je lui écarte ses doigts de pied un par un et que mon pouce et mon index les caresses de plus en plus profondément.
Je suis assis à ses côtés dans la magie de cette île paradisiaque.
Tous nous incite à lamour, le bruit des vagues venant mourir doucement, tendrement sur notre plage de sable blanc.
Les étoiles dont certaines files jusquau bout de la terre.
Ces myriades détoiles dans cet hémisphère à lautre bout du monde.
Viens, allons le long de la plage nous tremper les pieds dans leau.
Regarde, la plage est vide personne pour casser lharmonie de ce moment exceptionnelle de notre première partie de voyage de noces.
Cest vrai trois jours ici et cinq à Venise après notre passage chez nous.
Nos familles nous ont gatté.
Je laide à se relever et lui prenant la taille elle en faisant de même nous descendons jusquà londe claire.
La lune nous suit se reflétant dans leau.
Nous nous éloignons de lhôtel jusquà ce quIris sarrête et moffre sa bouche.
Ce dont je suis sûr que cest que nous sommes seules au monde sur cette île paradisiaque.
Je descends mon maillot de bain et je massoie, mes fesses touchent leau un peu froide un instant avant quIris vienne sassoir sur moi.
Alors quelle aurait pu sempaler directement sur ma verge tendue comme jamais, elle reste sur ses genoux, passe sa main entre nous et me saisit la verge.
Elle aussi est nue, elle sait que je vais la prendre, elle a détaché les cordons du haut et du bas.
Je pense quelle veut me faire entrer dans sa chatte que je sens ruisselante, mais maîtresse de notre jeu, seule mon gland la touche.
Est-ce que tu maimes ?
Oui, je taime ma chérie.
Elle se soulève légèrement.
La perte de contact avec mon gland de sa chatte me donne une impression dabandon.
Une goutte de cyprine tombe sur cette partie de mon corps qui est chaud bouillant.
Je suis à deux doigts déjaculer, surtout quà cet instant limage de Caroline, les seins sur ce mur de bungalow me reviennent en mémoire.
Je chasse cette idée fixant mon regard droit devant moi, mais cest pire malgré le peu de clarté apportée par la lune.
Les seins dIris, depuis que jai commencé à écrire notre histoire, jai rarement parlé de la beauté de ses seins.
Beaux gros et rondes.
Je sais, cette description fait penser à des millions de seins de femme dans le monde.
Cest là que lon se trompe, ce sont les siens, ceux de lamour de ma vie.
Celle que je vais chérir jusquà ce que la mort nous sépare.
Dis-moi à quoi tu penses, quas-tu fait.
Tu es un vilain garçon qui a été très long, je me languissais.
Jai eu du mal à trouver les bouteilles deau.
Je crois que je vais te laisser là à te masturber comme dans les longues heures où nous nous faisions du bien dans limpossibilité de rejoindre lautre pourtant à quelques mètres.
La patronne à notre arrivée nous a dit que, jour et nuit il y avait un serveur qui était à notre disposition pour nous servir.
Justement il était absent.
Il est vrai que la patronne nous a signalé cette possibilité.
Il est vrai que lorsque je suis rentré par la terrasse ouverte, le serveur brillait par son absence.
Jai pris une bouteille et je suis parti.
Mais oui, que je suis con, le serveur était bien là, mais entre deux bungalows à enfiler des perles avec Caroline.
Je vais crever denvie du centre du monde que représente la chatte dIris à ce moment de ma vie.
Cest leau froide de la mer à plus de 20 degrés, tout de même, qui me sauve quand une vague un peu plus grosse vient se briser sur nos intimités.
Cest vrai, jai trainé.
Ah ! tu vois, tu es incapable de me cacher quoi que ce soit.
Tu en as sauté une autre !
Oh ! non, jai regardé Carolie, elle se faisait sauter par le serveur à larrière des bungalows.
Cest pour ça que tu bandes, tu penses à ce que tu as vu !
Les femmes sont incroyables.
Vous bandez pour elle et pour elle seule et elles trouvent le moyen de vous faire une scène de ménage.
Non, je me fiche que Gilbert soit cocu, je te rappelle que dans lavion il a essayé de me caresser.
Scène incroyable, jai bien vu Caroline faire une réflexion à Gilbert, mais parce quil avait caressé le bras dIris.
Aurait-il été plus loin avant que je me réveille ?
Et sest sur une plage de la Jamaïque que je suis à deux doigts de la scène de ménage.
Iris a-t-elle senti quelle en avait trop dit et voulant noyer le poison enlève sa main et sempale sur ma bite qui en pleur de joie.
Pleurer, cest un grand mot, elle éclate de mille feux comme ceux des plages de mon enfance le 14 Juillet alors que mon corps se vide de toutes le sperme que mes bourses puissent lui fournir.
Jai limpression que des giclés interminables fusent dans son vagin.
Aucun problème, la marée montante lave tout ce qui sort delle.
Nous nous embrassons dans un fougueux baisés.
Caroline et Gilbert auront-ils été les auteures indirectes de la plus grande jouissance de notre couple même si elle fut brève.
Nous roulons sur le sable enlacer avant de retrouver nos esprits.
Nos maillots ?...
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